Appauvrir l'Algérien.
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26032008

Appauvrir l'Algérien.
La paupérisation à marche forcée.
Ceux qui il y a quelques années encore avaient l'espoir en leur qualité de cadres moyens ou de petits commerçants de pouvoir continuer à joindre les deux bouts sont en train de déchanter.
Il n'y a plus de couches intermédiaires entre les riches et les pauvres. Il y a les riches, immensément riches qui ont obtenu toute leur fortune en une seule génération et qui n'ont pas l'ancrage des traditions pour savoir l'utiliser au profit des autres et de leur pays, et il y a les pauvres qui n'arrivent plus à se payer un bidon d'huile au prix ou il est ni un kilo de café et autres espèces de denrées de première nécessité.
Les médicaments ne sont plus accessibles à une large couche de la population, les maladies endémiques jadis éradiquées reviennent, telle la tuberculose, la diphtérie, ou le choléra et dernièrement on à pensé augmenter le prix des interventions médicales au niveau des hopitaux publics de 400 %. Il semblerait qu'on soit sur le poiint de les remettre à niveau pour mieux les bazarder.
Le peuple n'en peut plus et une démocratie à l'Irakienne importée de l'étranger n'apporterait que le chaos et de toute manière Boumeddienne n'est plus là et les brebis galeuses s'en donnent à coeur joie et ont contaminé tout le troupeau.
Les problèmes sont connus, nous ne faisons que les ressasser, j'aimerai tant que quelqu'un trouve rapidement la solution, car partis comme on est notre précieurx pays est mal barré et nous sommes assis sur une poudrière .
Ceux qui il y a quelques années encore avaient l'espoir en leur qualité de cadres moyens ou de petits commerçants de pouvoir continuer à joindre les deux bouts sont en train de déchanter.
Il n'y a plus de couches intermédiaires entre les riches et les pauvres. Il y a les riches, immensément riches qui ont obtenu toute leur fortune en une seule génération et qui n'ont pas l'ancrage des traditions pour savoir l'utiliser au profit des autres et de leur pays, et il y a les pauvres qui n'arrivent plus à se payer un bidon d'huile au prix ou il est ni un kilo de café et autres espèces de denrées de première nécessité.
Les médicaments ne sont plus accessibles à une large couche de la population, les maladies endémiques jadis éradiquées reviennent, telle la tuberculose, la diphtérie, ou le choléra et dernièrement on à pensé augmenter le prix des interventions médicales au niveau des hopitaux publics de 400 %. Il semblerait qu'on soit sur le poiint de les remettre à niveau pour mieux les bazarder.
Le peuple n'en peut plus et une démocratie à l'Irakienne importée de l'étranger n'apporterait que le chaos et de toute manière Boumeddienne n'est plus là et les brebis galeuses s'en donnent à coeur joie et ont contaminé tout le troupeau.
Les problèmes sont connus, nous ne faisons que les ressasser, j'aimerai tant que quelqu'un trouve rapidement la solution, car partis comme on est notre précieurx pays est mal barré et nous sommes assis sur une poudrière .
jnsplu- participant assidu
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Date d'inscription : 26/03/2008
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